En faire toute une histoire

Je m'y suis remis.

M'y suis remis à écrire des histoires et à les dessiner.
M'y suis remis à farfouiller, tritouiller dans la caboche des émotions, des envies, des cohérences.

Bon, ça part plus ou moins dans tous les sens,
c'est un peu brouillon au début.

Mais il faut y croire.

Motivé! motivé! faut rester motivé!

Et si ça ne marche pas...
ben je recommencerais!

Comments

[roudodoudourou]

> Ou une prémonition...
ou alors on peut mettre tous les autres textes au bout de la fin du "Château"!

> "...un formulaire administratif d'entrée au château",
en tout cas, déjà, au chateau de ma caboche!

[MGP]

Ta page griffonnée de partout pourrait être une belle fin. Ou, dans un tout autre genre, un formulaire administratif d'entrée au château, avec plein de questions impossibles.

[MGP]

Merci pour ces fins qui calment ma faim :)
Dorham : tout se passait à Disneyland alors ?
Roudodoudourou : le château serait une vaste compil ?!

Quel génie, ce Kafka...

[roudodoudourou]

Kafka, on en sort pas...
alors que mon manuscrit ressemeblr tellement à un manuscrit de Flaubert... ou de Proust, mais bon...

>Dorham, Kafka un monolythe?
Je pense plutôt qu'il a agrégé plusieurs traditions - talmudiques, philosophiques, romantiques, et psychanalitiques, peut-être ...
Alors ça paraît sortir de rien, mais en fait les racines sont souterraines.

>MG, la fin du Chateau?
Aprés une noce à la campagne,
K. se sent métamorphosé.
Il écrit une lettre à son papa,
et après avoir traversé la muraille de Chine,
- ce qui lui vaut un procès retentissant -
il part en Amérique,
où il fini dans une colonie pénitentiaire,
genre Guantanamo...

>Dorham 2, laisse mes Babars tranquille!
arrête de vouloir les bouffer!

>Archie, mille mercis pour ces encouragements qui me vont vraiment droit au coeur!
je vais écouter tes conseils de jardiniers averti!

[Archie]

A moi, ça me fait très plaisir ce "scribouillamini" !
Ça me fait plaisir, parce que je suis sûr que tu vas y arriver. Peut-être pas du premier coup, encore que ? Mais en tout cas, te biles pas, je le sens arriver, ce point de non-retour au delà duquel, tu sais.
Tu sais que c'est bon, que ça va marcher, que tu iras jusqu'au bout .

Alors, arrose les lettres, laisse germer, tu vas voir arriver les dessins entre, ils vont grossir, grossir et éclater -on ne verra plus qu'eux- à la surface de ta page.

Et tu sais quoi ?
Bravo !